Objectives: This study sought to compare one-step versus two-step testing approaches for gestational diabetes mellitus (GDM) and to investigate the associations between testing approach, degree of glucose impairment, and perinatal outcomes.
Methods: A retrospective population-based cohort study was conducted by combining BC's Perinatal Data Registry with laboratory and billing information from 2010 to 2014. Pregnancy characteristics were compared by GDM testing approach. Logistic regression was conducted to determine the association between testing approach, degree of glucose impairment, and outcomes.
Results: Approximately 17% of pregnant individuals were diagnosed with GDM using the one-step test, compared to 6% using the two-step test. The odds ratios of adverse outcomes were below 1.75 for GDM pregnancies regardless of testing approach used (compared to the group with negative results on the two-step test). A dose-dependent trend was observed between increasing glucose intolerance and odds of preterm birth. The odds of large for gestational age infants (LGA) and shoulder dystocia were significantly higher when all 75 g test values were within one standard deviation below one-step diagnostic thresholds (adjOR 1.94[1.73-2.17] and 1.85[1.55-2.21], respectively).
Conclusion: The frequency of GDM was three times higher with the use of the one-step test versus the two-step test. Abnormal results on the two-step test are associated with preterm birth at an odds ratio below 1.75. Pregnant individuals with one-step test results just below diagnostic criteria may be at greater odds for LGA. The benefits of more stringent testing practices need to be weighed against the impact of additional GDM diagnoses.
RéSUMé: OBJECTIFS: Cette étude visait à comparer les approches de dépistage du diabète gestationnel (DG) basées sur 1 étape contre 2 étapes et investiguer les associations entre l’approche de dépistage, le niveau d’altération du glucose et les issues de santé périnatale. MéTHODE: Une étude de cohorte populationnelle rétrospective a été menée en combinant le registre de données périnatales de la Colombie-Britannique avec des données de laboratoire et de facturation de 2010 à 2014. Les caractéristiques des grossesses ont été comparées entre les différentes approches de dépistage du DG. Une régression logistique a été réalisée pour déterminer l’association entre l’approche de dépistage, le degré d’altération de la glycémie et les issues de santé périnatale. RéSULTATS: Environ 17% des personnes enceintes ont reçu un diagnostic de DG à l’aide du test en 1 étape, contre 6% à l’aide du test en 2 étapes. Les rapports de cotes d’issues défavorables étaient inférieurs à 1,75 pour les grossesses avec DG, quelle que soit l’approche de dépistage utilisée (en prenant pour référence le groupe de diagnostic négatif basé sur le test en 2 étapes). Une tendance dose-dépendante a été observée entre l’augmentation de l’intolérance au glucose et le risque d’accouchement prématuré. Les risques de naissance avec poids élevé pour l’âge gestationnel (PEAG) et de dystocie des épaules étaient significativement plus élevés lorsque toutes les valeurs du test à 75 g se situaient à moins d’un écart type en dessous des seuils diagnostiques du test en 1 étape (adjOR 1,94[1,73–2,17] et 1,85[1,55–2,21], respectivement). CONCLUSION: La fréquence du DG était trois fois plus élevée avec le test en 1 étape qu’avec le test en 2 étapes. Les résultats anormaux du test en 2 étapes sont associés à une naissance prématurée avec un rapport de cotes inférieur à 1,75. Les personnes enceintes dont le résultat du test en 1 étape est légèrement en dessous du seuil diagnostique sont plus susceptibles de donner naissance à un nouveau-né de PEAG. Les avantages d’approches de dépistage plus strictes doivent être pondérés par rapport à l’impact de diagnostics supplémentaires de DG.
Keywords: Birth outcomes; Gestational diabetes mellitus; Laboratory testing; Oral glucose tolerance test.
© 2024. The Author(s) under exclusive license to The Canadian Public Health Association.